Titre : Parce que je t'aime
Broché : 432 pages
Editeur : Pocket
Edition : octobre 2013
Sans grande surprise...
Sans grande surprise...
Présentation de l'éditeur :
Layla, une petite fille de cinq ans, disparaît dans un centre commercial de Los Angeles. Brisés, ses parents finissent par se séparer.
Cinq ans plus tard, Layla est retrouvée à l'endroit exact ou on avait perdu sa trace. Elle est vivante mais reste plongée dans un étrange mutisme.
À la joie des retrouvailles, succèdent les interrogations. Ou était Layla pendant toutes ces années ? Avec qui ? Et surtout : pourquoi est-elle revenue ?
Ma lecture :
"Condamnée" à recevoir des ouvrages de Guillaume Musso à chaque occasion, j'en profite pour être aux rendez-vous de la blogosphère. Cette fois-ci, c'est le mot retenu par Calypso et son challenge ludique "un mot, des titres" qui m'a guidée vers ce titre (qui comprend le mot "je").
Après "7 ans après..." et "Demain", c'est le troisième titre que je lis de cet auteur incontournable semble-t-il, au moins en tête de gondole de nos supermarchés. Il ne me reste pas grand chose aujourd'hui de ces premières lectures, je pense qu'il en sera de même pour ce "parce que je t'aime".
Que vous dire sur ce roman ? Comme pour "7 ans après...", la lecture est facile et le livre vite englouti. Le lecteur se prend à imaginer toutes sortes de dénouements, d'autant que l'auteur nous met en garde au début "Pour préserver la surprise, ne révélez pas la fin de ce livre à vos amis !".
Dans ce livre, beaucoup d'histoires s'enchevêtrent : celle de Layla bien sûr, de son père Mark, de sa mère Nicole, avec beaucoup plus de distance, de Connor, l'ami psy du couple, de Evie, la jeune adolescente perdue et révoltée, et d'Alyson, une gosse de riche totalement détruite. On se demande tout au long du livre comment le hasard a-t-il bien pu les mettre sur la même route, ou plutôt, dans le même avion.
Beaucoup de personnages, mais là encore, comme dans "7 ans après...", peu d'attachement aux personnages. La seule qui m'ait peut-être touchée est Evie, une pauvre gamine paumée, que la vie n'a pas gâtée, mais qui garde un esprit sain et confiance en l'avenir. Les autres me semblent trop distants et lisses ou me mettent mal à l'aise. Et surtout, je suis très troublée par la présentation que l'auteur nous fait de meurtriers, cherchant à nous les rendre sympathiques, à nous les faire plaindre. Cette partie de l'histoire me dépasse complètement, d'autant que le dénouement n'apporte aucune forme de justice... bien au contraire !
Enfin, la fin de ce livre m'a un peu déçue. Après les précautions prises par l'auteur, je m'attendais à quelque chose de plus original, surnaturel peut-être, dans la lignée de Lévy ou de "7 ans après...". Finalement, l'issue de ce livre sera assez classique avec pourtant un goût amer, un sentiment d'injustice puissance 3 qui me paraît intolérable. Serait-ce une réflexion autour de la peine de mort ?
Encore pas un titre référence pour moi, malgré quelques bonnes choses.
Après "7 ans après..." et "Demain", c'est le troisième titre que je lis de cet auteur incontournable semble-t-il, au moins en tête de gondole de nos supermarchés. Il ne me reste pas grand chose aujourd'hui de ces premières lectures, je pense qu'il en sera de même pour ce "parce que je t'aime".
Que vous dire sur ce roman ? Comme pour "7 ans après...", la lecture est facile et le livre vite englouti. Le lecteur se prend à imaginer toutes sortes de dénouements, d'autant que l'auteur nous met en garde au début "Pour préserver la surprise, ne révélez pas la fin de ce livre à vos amis !".
Dans ce livre, beaucoup d'histoires s'enchevêtrent : celle de Layla bien sûr, de son père Mark, de sa mère Nicole, avec beaucoup plus de distance, de Connor, l'ami psy du couple, de Evie, la jeune adolescente perdue et révoltée, et d'Alyson, une gosse de riche totalement détruite. On se demande tout au long du livre comment le hasard a-t-il bien pu les mettre sur la même route, ou plutôt, dans le même avion.
Beaucoup de personnages, mais là encore, comme dans "7 ans après...", peu d'attachement aux personnages. La seule qui m'ait peut-être touchée est Evie, une pauvre gamine paumée, que la vie n'a pas gâtée, mais qui garde un esprit sain et confiance en l'avenir. Les autres me semblent trop distants et lisses ou me mettent mal à l'aise. Et surtout, je suis très troublée par la présentation que l'auteur nous fait de meurtriers, cherchant à nous les rendre sympathiques, à nous les faire plaindre. Cette partie de l'histoire me dépasse complètement, d'autant que le dénouement n'apporte aucune forme de justice... bien au contraire !
Enfin, la fin de ce livre m'a un peu déçue. Après les précautions prises par l'auteur, je m'attendais à quelque chose de plus original, surnaturel peut-être, dans la lignée de Lévy ou de "7 ans après...". Finalement, l'issue de ce livre sera assez classique avec pourtant un goût amer, un sentiment d'injustice puissance 3 qui me paraît intolérable. Serait-ce une réflexion autour de la peine de mort ?
Encore pas un titre référence pour moi, malgré quelques bonnes choses.
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Une lecture à inscrire donc au challenge "un mot, des titres" proposé par Calypso. Le prochain mot sera Cœur, pour le 1er septembre. A vos PAL !
Je crois que j'ai aimé tous les titres de Musso mais je pense que je les ai tous oubliés aussi vite. Une lecture détente tout simplement.
RépondreSupprimerBonne fin de semaine.
Je crois que c'est une lecture que je ne ferai jamais. Même pour me détendre... J'entends en revanche beaucoup de bien des publications de son frère... Pourquoi pas ?
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